Au premier regard, les œuvres exposées sur les cimaises nous plongent dans l’univers de l’artiste, qui nous convie à son «entrée en matière» : pigments puisés à même le sol, cartons de récupération, sable, surfaces brûlées. A la fin du XVIIIe siècle, le mathématicien et chimiste Antoine de Lavoisier écrivait : « Rien ne se perd, rien ne se crée, …