L’été c’est l’été. Même lorsqu’il vient interrompre pour cause de relâche estivale le cours d’un récit qui restera suspendu le temps de récupérer sur les fatigues de l’année et de restaurer ses forces pour un nouveau tour de onze mois. Heureusement, la «coupe» a été faite proprement et la reprise peut ainsi s’effectuer sans bavures, c’est-à-dire sans hiatus. De quoi …