Une décennie après sa mise à l’écart des sélections nationales des jeunes par la fédération de football («en raison du nom que je porte», avouera-t-il), Youssef Seriati est toujours un écorché vif. La «récompense» pour le travail abattu durant un quart de siècle ressemble à un coup de poing en plein cœur. Mais peut-être bien qu’on n’échappe pas à son …