«De notre temps, nous jouions sur terre battue, et les blessures étaient nettement plus fréquentes et plus graves. Nous pratiquions le foot pour le plaisir et pour donner du plaisir au public. Le facteur plaisir était le maître-mot, et ce, dans le respect de l’adversaire et de l’arbitre». C’est l’ex-meneur de jeu de l’USM, Nouri Besbès, qui s’exprime ainsi. Il …