Nos forces politiques, qui n’ont pas excellé à redresser l’économie et les finances ou à concrétiser les attentes sociales de la révolution, sont en droit de protéger les acquis qu’elles ont accumulés en matière de cohabitation politique, d’assimilation de l’Islam pacifique et de transition démocratique. Ces acquis, les Tunisiens les connaissent et, le jour J, ils et elles voteront en …