IL semble que l’investissement dans le malheur des autres et l’instrumentalisation, à des desseins politiques, de la souffrance des Tunisiens, notamment les plus vulnérables, sont devenus le sport national pratiqué par certaines parties. Ces parties dont l’identité n’échappe plus aux Tunisiens se sont spécialisées, en effet, dans l’exploitation médiatique à outrance du moindre événement, de la plus infime des erreurs …