Assurément, l’organigramme de l’élection présidentielle apparaît comme trop laxiste et généreux, s’agissant du premier tour de scrutin. Et cela avait déjà été le cas en 2014. Mais établir des critères pour sélectionner un petit nombre de candidats s’était avéré hasardeux et frustrant, et le tête-à-tête Marzouki-Caïd Essebsi promettait d’être alléchant. Cette année-ci, on a donc parié sur une sélection de …