En tant que président de club, Youssef Almi devait prendre place dans les tribunes et non pas sur le terrain. Il n’avait pas à parler à l’arbitre du match. Ce n’est pas d’ailleurs son rôle. En Tunisie, et dans le monde du football en particulier, on a tendance à confondre les rôles. On a tendance aussi à jouer la carte …