«Il faut limer sa cervelle contre celle d’autrui», disait Paul Valéry. Limer, c’est affûter et l’Institut des beaux-arts de Sousse semble adhérer à ce principe puisque les enseignants sont conscients que l’enseignement suppose la recherche, sans quoi tout enseignement se sclérose au niveau vertical et donc stérile. Envisager une nouvelle perception du contenu des programmes dispensés par le corps …