«Ce qui nous a surpris, c’est que le système d’évaluation des compétences établi par le Conseil supérieur de la magistrature n’a pas été pris en considération lors du mouvement», dénonce le président de l’Association des magistrats tunisiens, le juge Anes Hemaidi. Qualifié de défaillant sur tous les plans, ce mouvement opéré dans le rang des magistrats judiciaires, déjà accusé de …