L’image donne l’air d’un camp de réfugiés, et pourtant elles sont dans leur propre pays. La constitution leur a donné le droit au travail mais elles commencent à désespérer. Depuis trois ans et plus exactement le 11 février 2019, elles campent devant le siège du gouvernorat dans des conditions climatiques difficiles. Par un froid de canard ou sous un soleil …