Dès le départ, Mohamed Sahli ne faisait pas l’unanimité au sein du club usémiste. N’empêche, se séparer de lui après deux défaites consécutives est la solution de facilité. L’entraîneur étant souvent utilisé comme bouc émissaire. La Presse — Nul n’est prophète en son pays, voilà une expression qui s’applique à Mohamed Sahli qui, pour sa première expérience en Tunisie, n’ira …