Voici une déroutante lecture d’été. L’œuvre de Grégoire Delacourt «Danser au bord de l’Abîme» se laisse découvrir d’une seule traite. Arrêt littéraire oblige. «Danser au bord de l’Abîme», titre poétisé, énigmatique à souhait et tellement tentant. «Tel est pris qui croyait prendre», le lecteur mord à l’hameçon et ne pourra plus se défaire des 280 pages du livre à succès …