«Quand je peins, je me libère. Le Moi devient un étranger, je déploie mes ailes et je m’envole…», écrit l’artiste plasticien Malek Saâdallah. Quand il peint, c’est aussi pour raconter la métamorphose de l’homme qui se mue progressivement et s’éloigne de sa condition d’homme par trop limitative… Raconter les aberrations d’une société mais sans sombrer pour autant dans le désespoir …