Intelligente comme elle est, féministe jusqu’au bout des ongles, l’auteur de la « Place », « les armoires vides », manie bien l’art de l’autobiographie, l’écriture de soi, pour se libérer tout d’abord, se confesser, se faire pardonner auprès d’elle-même et de ses lecteurs, de ce qu’elle a considéré , à l’époque, comme « faute », mais aussi pour se révolter, s’interroger, et lancer un appel …