Pour l’économiste et professeur universitaire Tahar El Almi, la décélération de la progression des prêts aux particuliers enregistrée depuis 2017 est principalement due au surendettement des ménages. Il estime que l’érosion du pouvoir de remboursement des crédits chez la classe moyenne, couplée à une politique monétaire “trop restrictive”, a entraîné une réticence bancaire en matière de crédits octroyés aux ménages. …