Alors que les écoles et les lycées sont quasiment à l’arrêt en raison de la pandémie, les enfants sont laissés à l’abandon. Les parents souvent travaillent et aucune alternative n’est prévue pour encadrer les gosses. Pour un certain nombre d’entre eux, errer dans les rues du quartier est la seule distraction. Or, la rue est le terrain propice à la délinquance et aux dangers divers. Le ministère de l’Education, ainsi que le ministère de la Jeunesse et des Sports, mais également les associations, doivent assumer leurs responsabilités pour soutenir les parents en cette période particulière.
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