Les jours passent comme un songe et, dans quelques jours, nous serons au mois de juin, mois des examens. Et pourtant rien n’augure de bon. La rétention des notes est toujours de mise et attend le bon vouloir des protagonistes qui prennent tout le monde en otage. Même si les enseignants ont raison, il faut faire la part des choses et trouver une autre façon d’obtenir satisfaction. Bien que le ministère, pour sa part, assure que les examens auront bien lieu (et nous voulons bien le croire), pour notre part, nous ne voyons pas de solution. La meilleure solution serait de faire une pause et de reprendre les négociations après la période des examens. Et ainsi, aucun ne sera lésé.