Non, il ne s’agit pas de la fameuse chanson de Gilbert Bécaud, mais des dispositions à prendre pour le futur proche et lointain de l’Espérance. Il ne faut surtout pas prendre des décisions hâtives sur le coup de la déception ou de la colère, comme nous y ont habitués les dirigeants «sang et or» pour calmer les supporters. Qu’on se le dise, la défaite fait partie du jeu sinon ce ne serait plus du sport, mais de la mécanique qui peut d’ailleurs tomber en panne. Alors, du calme. Il faut prendre le temps de la réflexion et bâtir sur le long terme. C’est le prix à payer pour un nouveau départ. N’oublions pas que c’est le doyen des clubs tunisiens et, en quelque sorte, leur locomotive.