On l’a souvent dit et pas qu’une, mais plusieurs fois. Mais cela n’a l’air d’émouvoir personne, surtout pas ceux qui devraient veiller au bien-être de leurs administrés (et par ricochet eux-mêmes) et—surtout—de nos hôtes étrangers. Il s’agit, dans ce cas d’espèce, des vespasiennes. Les cafés, les salons de thé ou les bars, auxquels il arrive qu’on s’adresse—faute de mieux—opposent un niet catégorique ou bien, et dans le meilleur des cas, leurs lieux d’aisance sont fermés à double tour ou en réparation ou dans un état tel qu’on préfère passer son chemin. Alors que faire ?