On n’a pas fini d’en baver avec ce changement climatique qui répand ses méfaits partout. Il ne lui suffit pas de nous infliger ses caprices avec les intempéries, les inondations, les canicules et les incendies qui en résultent et les dommages collatéraux, mais il va encore plus loin. Où sont les oiseaux, où sont les hirondelles —annonciatrices du printemps—, les insectes, aussi nuisibles soient-ils mais tellement utiles par leur qualité de nourriture pour d’autres animaux mais surtout de polinisateurs naturels et —surtout— gratuits ? Même les figues de Barbarie dont le Tunisien est si friand n’ont fait leur apparition (timide) que dernièrement. Alors là, ça ne va pas du tout. Mettons-nous en ordre de marche et prenons les mesures nécessaires face à ce fléau.