La Tunisie célèbre ce dimanche, la journée mondiale de lutte contre la traite d’êtres humains et du 5e anniversaire de son adhésion à la convention y afférente, au moment où ce fléau connait un spectaculaire regain du terrain marqué par la multiplication des flux migratoires des migrants irréguliers vers la Tunisie en provenance de pays africains, la partie subsaharienne en particulier.
Pour rappel, la Tunisie a promulgué une loi interdisant la traite des humains (loi organique du 3 aout 2016) et créé une instance nationale de lutte contre la traite des humains en vertu de ce même texte de loi.
En 2018, la Tunisie a adhéré à la convention du conseil européen sur la traite des humains et durant la même année, elle a rejoint la campagne internationale « Cœur bleu », une action qui vise à sensibiliser le grand public sur la détection et l’identification des victimes de traite.
À noter qu’en 2002, la Tunisie a été classée deuxième dans le classement mondial des pays en termes de lutte contre la traite des être humains.
Cependant, le pays fait face, depuis quelques mois à un défi social et sécuritaire de taille qui consiste en la multiplication, sans précédent, du nombre des migrants irréguliers en provenance de l’Afrique subsaharienne avec l’aide de réseaux criminels opérant à l’échelle mondiale.
Face à ce phénomène, la Tunisie qui place désormais cette question en tête de ses priorités, a sollicité le soutien de l’Union européenne et de l’Organisation des Nations Unies dans sa lutte contre les réseaux transfrontaliers actifs dans la traite des êtres humains et le trafic d’organes.
Dimanche dernier, le président de la République Kais Saied a souligné, à la conférence internationale sur la migration et le développement à Rome Le président Saïed la nécessité de s’attaquer aux causes et aux origines du phénomène grandissant de la migration irrégulière, affichant une convergence de vues avec la présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, sur la création d’une nouvelle institution financière mondiale qui sera alimentée par les prêts annulés et les fonds récupérés des banques du Nord.
Pour rappel, mémorandum d’entente a été signé le 16 juillet en cours, entre la Tunisie et l’Union européenne baptisé qui prévoit la mise en œuvre d’un train de mesures se rapportant à cinq volets-clés.
Il est question de l’emploi des jeunes, du développement économique, de l’investissement, du renforcement du commerce et de la transition numérique ainsi que la lutte contre la migration irrégulière.
Dr. E. Moudoud
30 juillet 2023 à 23:18
ET CE CHIEN DE ZEMMOUR…DONT LES CHIENS DE PARENTS…D’ANCIENS ‘TORTIONAIRES’ DE L’ALGÉRIE DE LA HAINE…VONT ‘FÊTER’ CELA AVEC NOUS…OÙ AVEC SA SALE RACE DE SALE ‘PIED NOIR…’D’ANTI-CHRÉTIEN…D’ANTI-FRANÇAIS…ET SURTOUT D’ANTI-MUSULMAN’…? NOTRE FRANCE.NOTRE TUNISE …NE PARDONNERONT JAMAIS…JAMAIS LES INSULTES DE SA RACE ‘INFÉRIEURE’ CONTRE…NOTRE RACE SUPÉRIEURE…VIVE LA TUNISIE.VIVE LA …FRANCE… VIVE LA RÉPUBLIQUE. VIVE KAIS SAIED. BOURGUIBA NE MOURRA JAMAIS…JAMAIS.