«En Tunisie, l’impact du stress hydrique peut coûter au pays entre 0,3 et 0,4 point de croissance en 2023», affirme l’économiste Ridha Chkondali. Dans une interview accordée à l’agence TAP, il met l’accent sur les craintes exprimées par la Banque centrale de Tunisie (BCT) relatives à l’impact du stress hydrique sur la croissance économique du pays. Le Conseil d’administration …