A Tunis, les gargotes poussent comme des champignons, sans compter celles ambulantes (entendez sur brouettes). On veut bien que les gens travaillent et que d’autres se restaurent. Mais il y a un minimum d’hygiène à respecter, ce qui n’est malheureusement pas le cas. Inutile de faire des dessins. Les inspections devraient être plus nombreuses et les sanctions dissuasives…
T.B.