Le ministère de l’Intérieur a annoncé, dimanche soir, l’arrestation d’une personne pour son implication présumé dans la diffusion de fausses nouvelles sur la démission de dirigeants sécuritaires et de responsables de l’État.
Dans un communiqué publié dimanche, le ministère a indiqué que, sur instruction du ministère public, la sous-direction des affaires criminelles s’est saisie d’une affaire de » diffamation et diffusion de fausses informations via les réseaux sociaux « .
La sous-direction des affaires criminelles a arrêté une personne qui a diffusé, samedi 21 mars, dans une page Facebook, de fausses informations sur la démission de dirigeants sécuritaires et de responsables de l’État, et a saisi son téléphone portable et son ordinateur, lit-on dans le communiqué.
Ces rumeurs sont à même de porter atteinte à la stabilité du pays et sa sécurité, notamment dans la situation actuelle, souligne le ministère.
Le ministère public a ordonné son maintien en détention et l’ouverture d’une enquête judiciaire enquête à son encontre.
Liberte
23 mars 2020 à 11:49
Le problème principal c’est de démentir les fausses informations par des preuves irréfutables avant d’arrêter le coupable.tout citoyen a le droit de s’exprimer s’il est certain de l’origine de ses informations,par contre la partie inverse doit fournir des preuves pour procéder à des attaques judiciaires irréfutables.