Que l’Etre Suprême, Parfait et Immortel réalise , comme il l’a toujours fait pour l’issue des pronostics de la superbe géante libanaise, Mme Leila Abdellatif, les incroyables prévisions de celle-ci. D’ici fin Mai prochain, le Bon Dieu sifflerait la fin progressive de la transe dramatique mondiale et le tremblement de la planète terre.
Dans nos sacro-saints périmètres, l’on s’attendrait, dans ces heureux délais, à ce que la vie reprenne normalement. Et que la grâce divine mette fin, petit à petit, à nos peines et à notre peine de résidence surveillée, synonyme de prison, prononcée « par contumace », contre les êtres humains, de par le monde et sans dire aux juges « présent ! Je le jure ! »
Tous les fidèles de notre pays, comme le reste de leurs homologues dans le monde islamique tout entier, recouvreraient bientôt «Inchallah !» leur droit « confisqué » par le destin, de reprendre massivement comme de coutume, leur chemin vers le majestueux temple du culte et du recueillement.
Mais les fidèles, naguère parfois infidèles aux règles d’hygiène, gagneraient alors à changer certaines mauvaises habitudes. Et prendre toutes les précautions du monde pour contribuer à mettre le monde à l’abri des risques de sévices d’autres cataclysmes et apocalypses, « Honni soit qui mal y pense ! ».
Voici, à mon humble avis, la recette idoine :
-Veiller autant que possible à se prêter au rite de l’ablation chez soi, au lieu de le faire collectivement dans les blocs sanitaires des mosquées.
– En cas de nécessité absolue, prendre les précautions et la peine de se munir de ses propres accessoires nécessaires à l’ablation tels que les tongs, le mini tapis de prière (Sajjada), sans oublier l’essuie tout.
D‘autre part, les personnels chargés de l’entretien des mosquées devraient faire de leur mieux pour avoir à leur portée le double des tapis mis en place sur les aires de prière, de manière à pouvoir les changer prestement dès que le besoin se fait sentir et que les odeurs des pieds se font sentir.
Voilà, en somme, ce que j’ai à dire à ce sujet. Et je laisse le loisir à nos illustres «imams» de faire le reste et le soin de développer à loisir ce sujet, du haut de leurs tribunes de prêche si sacrées.