Le chef du gouvernement désigné, Hichem Mechichi, reçoit, ce jeudi, au palais de Dar Dhiafa à Carthage, des personnalités nationales, dans le cadre des concertations pour la formation du prochain gouvernement.
Selon un communiqué du chargé de communication auprès du chef du gouvernement désigné, Mechichi tiendra des rencontres avec l’ancien ministre Mansour Moalla, l’ancien gouverneur de la Banque centrale Mustapha Kamel Nabli, le président de la Fédération tunisienne des directeurs de journaux, Taïeb Zahar et l’homme de théâtre Taoufik Jebali.
Le chef du gouvernement désigné s’est entretenu, mercredi, avec les députés hors groupes Mongi Rahoui, Safi Saïd, Mabrouk Korchid, Yassine Ayari et Fayçal Tebbini.
Au début de la semaine, il a mené des concertations avec les représentants des groupes parlementaires et des partis politiques.
Les concertations pour la formation du gouvernement ont démarré le 27 juillet dernier avec des rencontres entre Hichem Mechichi et les représentants des organisations nationales, des experts en économie et en droits ainsi que des ministres du gouvernement de gestion des affaires courantes.
Samedi 25 juillet, le président de la République, Kais Saïed, avait remis une lettre de mission à Hichem Mechichi, le chargeant de former le nouveau gouvernement, suite à la démission de Elyes Fakhfakh, aux prises avec une affaire de suspicion de conflit d’intérêts.
Mechichi dispose d’un délai d’un mois à compter de dimanche 26 juillet 2020 pour former son équipe gouvernementale, conformément aux dispositions de la Constitution.
Liberte
6 août 2020 à 09:12
Un homme seul ou une femme ne peut pas faire un bon choix sans ses conseillers. Le problème essentiel c’est que le choix de ces conseillers reste tabou et on ne veut pas choisir un bon conseiller de peur qu’il soit plus intelligent que vous, alors on prend toujours des conseillers de seconde classe et le résultat est là depuis des années. A chaque gouvernement la parité homme femme n’est jamais respectée , les femmes sont toujours bonnes conseillères et au foyer c’est toujours elle qui a le dernier mot.