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Ouverture du Vème Congrès du SNJT

Les travaux du Vème congrès du Syndicat National des Journalistes Tunisiens (SNJT) placé sous le signe « Les droits des journalistes, un fondement de la liberté de la presse », a démarré samedi au Palais des Congrès à Tunis, avec la participation d’un nombre important de journalistes.

Ce congrès, qui se déroule sur deux jours, verra après son ouverture officielle, ce samedi, l’élection du bureau de la présidence du congrès, ainsi que celle des commissions d’élaboration de la motion générale, de la motion professionnelle, de la commission de supervision des élections et de dépouillement. Il est question également d’élire la commission des recours et de vérification.

Les rapports moral et financier ainsi que les motions générale et professionnelle seront présentés et examinés lors de cette première journée avant d’être votés.

La séance de l’après-midi de la journée inaugurale, verra l’adoption, après le débat général, du règlement intérieur et la présentation des candidats pour le nouveau bureau exécutif du SNJT.

Étaient présents à l’ouverture des travaux du congrès plusieurs personnalités nationales et présidents d’organisations nationales et professionnelles, dont le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du Travail, le président de la Haute instance supérieure de la communication audiovisuelle, le président de la Ligue tunisienne de défense des droits de l’Homme, le président de la fédération tunisienne des directeurs de journaux, le bâtonnier de l’Ordre des avocats, le président du Conseil supérieur de la Magistrature ainsi que l’ambassadeur de Palestine à Tunis, Hael Al-Fahoum, et des députés.

Dimanche, les travaux du congrès se dérouleront dans un hôtel de la capitale. Les journalistes devront choisir les neuf membres du bureau exécutif du syndicat pour le mandat (2020/2023) parmi 33 candidats en lice.

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Un commentaire

  1. Liberte

    19 septembre 2020 à 11:17

    La majorité des journalistes tunisiens sont et ont été à la solde du gouvernement, plus de 80 % c’est beaucoup. Quatre journaliste sur cinq sont tous corrompus

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