Accueil Sport Préparation de l’équipe nationale en préparation pour le match amical de la RDC : Pour une vraie feuille de route

Préparation de l’équipe nationale en préparation pour le match amical de la RDC : Pour une vraie feuille de route

Trois matches amicaux au programme de l’équipe nationale et une liste de sélectionnés bien étoffée. Cela suscite la curiosité des supporters du Club Tunisie. Et toute la stratégie du coach national est donc à l’épreuve.

A l’instar de toutes les équipes nationales du monde, la nôtre ne drôme pas et s’apprête à disputer trois matches amicaux dans le but de poursuivre sa préparation pour les prochaines échéances (Coupe du monde et CAN 2022). Même si le dernier match officiel de la Tunisie remonte au 28 mars dernier contre le Guinée Equatoriale (2-1) dans le cadre au terme de deux longs mois d’inactivité. Peu importe, ceci revient à plusieurs facteurs dont notamment la Covid-19 qui a été à l’origine du report de la CAN de 2021 à 2022. Du, coup, chaque reprise d’activité de l’équipe nationale est la bienvenue d’autant plus qu’elle nous permet toujours de jauger les potentialités de notre «onze» national et même de découvrir les nouveaux internationaux devant lesquels les portes de l’équipe nationale sont toujours grandement ouvertes.

Relève assurée…

Nul doute que notre sélection a besoin de beaucoup de travail et de matches amicaux pour s’aguerrir au maximum car la concurrence est des plus rudes ces dernières années. Et pour rivaliser avec les géants classiques : le Ghana, le Nigéria, l’Egyptie, le Cameroun la Côte d’Ivoire et les autres ogres qui refont surface comme l’Algérie et le Maroc, il faut bien avoir, une équipe  nationale très compétitive.

En plus, il y a lieu de penser dès à présent à la relève concernant les piliers de l’équipe ayant franchi le cap de la trentaine à l’instar de Youssef Msakni, Wahbi Khazri et Ali Maâloul en particulier. Des éléments qui ont marqué la dernière décennie et qui se trouvent à l’automne de leur carrière malgré de beaux restes.

Heureusement que l’on peut parler de relève assurée sans risque de se tromper. Eh bien, quand une sélection compte dans ses rangs des talents confirmés comme Wajdi Khechrida, Mohamed Draguer, Dylan Bronn, Mohamed Ali Ben Romdhane, Hamza Refraâ, Anice Ben Slimène, Hannibal Majebri, les frères Rekik, Ali Youssef, Seïfeddine Jaziri, Sebastien Tounakti et tant d’autres encore sélectionnables, on ne peut que s’en réjouir.

Il y a de quoi affirmer que la Tunisie a le football qui coule dans les veines de ses joueurs et qu’elle enfantera beaucoup de talents comme elle l’a toujours fait par le passé.

Une cohésion à perfectionner

Que reste-t-il à Mondher Kebaïer, le coach national, pour faire quelque chose de formidable avec cette nouvelle vague de valeureux joueurs issus de la compétition locale et des équipes européennes ou arabes?

Il faut, tout simplement avoir des idées claires et bien cadrées afin de faire du bon travail et surtout de ne pas perdre de temps dans une prospection sans fin. L’ossature de base doit être arrêtée le plus rapidement possible en fonction des choix tactiques à adopter.

Il y a que la cohésion et le fond de jeu  basé sur les bons automatismes doivent  être les nouveaux mots d’ordre.

A ce propos, il  y a lieu de rappeler que nous n’avons ni Salah, ni Mahrez, ni encore moins Mané.

Il appartient, donc au timonier de la sélection de ne pas s’éparpiller les idées et d’opter pour une préparation basée sur des données scientifiques infaillibles.

crédit photo : FTF
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