Accueil Culture Ce soir, spectacle musical de Zied Zouari dans le cadre des «Nuits de Ramadan» au Club culturel Taher-Haddad : Ode à l’Afrique…

Ce soir, spectacle musical de Zied Zouari dans le cadre des «Nuits de Ramadan» au Club culturel Taher-Haddad : Ode à l’Afrique…

Le violoniste, Zied Zouari, revient sur la scène tunisienne avec un nouvel opus aux influences africaines. Accompagné de quatre autres artistes, il se produira ce soir, à partir de 22h00, au Club culturel Taher-Haddad.

«Made in Africa» est un nouveau projet de musique tunisienne contemporaine aux couleurs multiples à travers lequel Zied Zouari opte pour une démarche peu commune, celle de mettre le Quatuor à corde classique au service d’un répertoire original, ayant pour maître mot l’africanité.

Sur scène, la musique oscille entre afro, jazz et musique tunisienne, entre modernité et authenticité. Les artistes sont tous de fins improvisateurs, doués en rythme et surtout adeptes de cette musique qui est à la fois contemporaine et à la teinte ancestrale.

Ce projet est une remise au goût du jour d’un répertoire original. Il est la synthèse de titres à succès issus d’anciens albums de Zied Zouari, et de nouvelles compositions, spécialement concoctées pour cette nouvelle aventure.

«Made in Africa» est la consécration de la riche carrière que l’artiste continue à mener dans les quatre coins du monde et ancrée dans ses collaborations mondiales avec Imed Alibi (Safar), Justin Adam’s, Goran Bregovic (Three Letters From Sarajevo), Mathias Duplessy (Violons du Monde), Bojan Z, Sylvain Luc et bien d’autres…

Cinq artistes seront sur scène pour offrir au public un spectacle unique, original et loin des sentiers battus : Zied Zouari (Composition, violon solo), Wadii Belguith (violon 1), Radhi Chawali (violon 2), Baha Ben Fadhel (alto) et Majdi Bahloul (violoncelle). Bouleversement de codes ou traditions émancipées, ce nouveau plateau de Zied Zouari rend hommage à l’Afrique, tel un nouvel opus de chant bédouin révolutionnaire ou encore une épopée de Blues dans l’air du temps.

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