
Dans l’affaire du «schoolbookgate», les erreurs constatées ne concernent pas uniquement un titre mais au moins deux. Dans le manuel de lecture (pages 5, 43, 77 et 84) et dans le cahier d’activités (pages 16, 64, 69), les erreurs grossières d’orthographe, de vocabulaire, d’accords et parfois même de sens (grands/petits, page 76 du manuel) se succèdent. Ces erreurs sont extrêmement dommageables, particulièrement lorsque l’on sait que ces titres s’adressent aux classes de 3e année de base composées d’enfants qui étudient pour la première fois une langue étrangère. On s’interroge donc légitimement sur la solidité des bases qui leur sont transmises. S.R.
Brahim
4 septembre 2022 à 12:43
Cet article tout à fait justifié démontre de manière évidente la baisse vertigineuse de la connaissance et la maîtrise de la langue française. Cela s’applique aisément à votre prestigieux quotidien. De deux choses l’une : l’absence d’un correcteur ou le niveau passable de vos journalistes et en premier les éditorialistes. Je sais de quoi je parle. Mon expérience de 40 ans m’y autorisé en tant que simple lecteur….