Parfois, il y a des situations tellement aberrantes qu’on se demande si on doit croire ce que l’on voit ou on entend, ou si on est en train de vivre un cauchemar, ou tout simplement de délirer. Quand un joyau comme la piscine du Belvédère, fermée et abandonnée depuis des décennies, tombe en ruine et est envahie par les herbes, on a plus qu’un serrement de cœur, mais plutôt un mouvement de désespoir. En cette période de canicule, ce lieu aurait été un vrai havre pour les riverains. Ailleurs, même une petite flaque d’eau aurait été valorisée et exploitée… Hélas, mille fois hélas !