Les étals sauvages ont disparu et c’est une bonne chose. On respire mieux et les choses commencent à rentrer dans l’ordre. Il reste, néanmoins, tous ces kiosques qui ont émergé comme des champignons après la révolution et dont la plupart, à moins d’erreurs ou d’omissions de notre part auquel cas nous nous excusons, sont illégaux et ont été érigés sur des terrains privés ou sur le domaine de l’Etat. Il faudrait une solution qui règle définitivement ce problème à la satisfaction de tout le monde.