
A voir l’encombrement des aires des fourrières, on les prendrait pour des parkings publics (payants, bien entendu). Pourtant non, ce sont bien des fourrières! Mais comment expliquer la densité des voitures dans ces lieux si inhospitaliers (en référence aux prix exorbitants à payer pour les récupérer). Eh bien, tout simplement le rendement fabuleux des préposés à cette noble tâche. Imaginez un automobiliste qui, juste après s’être garé, se rend à l’horodateur pour prendre un ticket de stationnement et, une fois de retour à son véhicule, le retrouve envolé. Où? A la fourrière bien évidemment ! On dirait que ces messieurs de la fourrière sont des sorciers et ont des yeux partout. A moins que…