Il est indéniable que le transport public est un calvaire et une plaie pour le paysage urbain et que tout le monde en souffre. Cela a été toujours le cas par le passé et cela le sera toujours si rien n’est fait pour y remédier. A voir circuler les rames de métro avec des portières qui ne ferment pas ou, dans le meilleur des cas, avec des portières sans vitres, cela fait mal au cœur. A part le danger que cela représente pour les voyageurs, ce n’est pas esthétique. Rien à voir avec les rames du RFR de la ligne Tunis-Barcelone El Gobbaâ qui ont été mises en circulation dernièrement. Confort, esthétique, contenance, sécurité et ponctualité y sont les maîtres-mots. Et à part les heures de pointe où il y a du monde, la plupart des convois circulent pratiquement vides. Et si…