Face au changement climatique et la surexploitation des ressources naturelles, tous les acteurs doivent intervenir pour construire un environnement de qualité, en particulier par des pratiques agroécologiques, à l’instar de la plantation des arbres. L’arbre absorbe en moyenne 25 kg de CO2 par an et présente le meilleur outil pour protéger notre environnement. Donc planter des arbres le long des routes, des autoroutes, dans les espaces publics et les parcs, surtout des espèces exotiques dépassant les dix mètres de hauteur, telles que les ficus, les mûriers, qui supportent les hautes températures et demandent peu d’eau et dont les feuilles sont brillantes, persistantes, ne tombent pas, favorise une esthétique agréable, procure de l’ombre pour réduire la chaleur, améliore la qualité de l’air en piégeant la pollution. Alors, réconcilier les activités urbaines avec la santé globale grâce à l’agroécologie face aux phénomènes climatiques extrêmes améliore la santé physique et mentale des citoyens et représente, en fait, une thérapie antistress.