Une bonne nouvelle que celle du projet d’amendement de la loi sur les chèques sans provisions ou «en bois», selon l’expression courante. Les auteurs de ces délits végètent en prison ou bien sont en fuite à l’étranger et vivent dans des conditions extrêmement difficiles alors que, pour la plupart—qui sont de bonne foi—, ce sont leurs donneurs d’ordre, en ne les payant pas, qui les ont mis dans ce pétrin. Rien à voir donc avec les escrocs qui font cela de manière délibérée. Il faut séparer le bon grain de l’ivraie.