Après une assez longue période où les usagers des transports ferrés de la banlieue sud vivaient au rythme des caprices des cheminots, les choses se sont tassées et le mouvement des dessertes est revenu à la normale. Mais voilà que ça recommence petit à petit. Des trains (pas beaucoup) qui arrivent en retard, d’autres sont supprimés. Une journée (le 20 mars) sans train, on ne sait trop pourquoi. Alors que le musée des horreurs (le dépôt F. Hached) avec sa station de lavage et ses chefs-d’œuvre en stationnement, est toujours là pour satisfaire la curiosité des visiteurs. Places illimitées, spectacle permanent, ouverture non-stop, visites gratuites et à volonté et j’en passe. Et au rythme où vont les choses, cela risque de durer éternellement.