Décidément, personne ne peut battre—en matière de rendement —les salariés des fourrières municipales de la Ville de Tunis. Lundi dernier, aux environs de 9h00, la circulation aussi bien automobile que du métro et même piétonne était arrêtée au carrefour avenue de Carthage-boulevard F. Hachad. En cause : un employé, donc, de la fourrière qui s’escrimait à remettre en place un «patin à roulettes» qui avait «échappé» justement d’une voiture «gentiment tractée» vers le dépôt de la fourrière. Et comme cela prenait du temps et que tout le monde s’impatientait, un concert de klaxons s’est déchaîné. Mais cela ne gênait pas outre mesure le «fourriériste» qui continuait imperturbablement son travail. N’est-ce pas admirable ?