Ce référentiel étant, en effet, un cadre qui permet de consolider les principes de gouvernance et de soutenir les approches visant à prévenir la corruption et la contrer, selon des critères clairs et précis.
Un mémorandum d’entente de coopération visant le développement et la mise en place d’un nouveau Référentiel national de la gouvernance, a été signé, mercredi, entre la direction générale de la gouvernance et de la prévention de la corruption à la Présidence du gouvernement (Dggpc), l’Institut national de la normalisation et de la propriété industrielle (Innorpi) et le Centre international des technologies de l’environnement de Tunis (Citet), en présence des directeurs généraux respectifs des trois structures.
Les organismes signataires se sont engagés à travailler ensemble pour mettre à exécution le mémorandum d’entente et œuvrer à l’élaboration de la nouvelle version du Référentiel national de la gouvernance. Objectif: la présenter aux différents acteurs, des secteurs public et privé, et les encourager à y adhérer.
Ce référentiel étant, en effet, un cadre qui permet de consolider les principes de gouvernance et de soutenir les approches visant à prévenir la corruption et la contrer, selon des critères clairs et précis, qui assurent la cohérence entre la spécificité du contexte national et les standards internationaux adoptés en la matière.