
Tous les moyens sont bons pour se défiler ou pour remettre au lendemain ce que l’on doit faire impérativement aujourd’hui, que dis-je, que l’on doit faire tout de suite.C’est le cas particulièrement quand il s’agit d’un patient, en crise, qui se présente, un samedi ou pire un dimanche, aux urgences et qu’on lui demande de revenir le lendemain. Cela est inacceptable, quelles que soient les raisons. Et pourtant, cela arrive.
Manque de personnel, organisation défaillante, inconscience… Ou tout à la fois. Cette situation est d’autant plus désolante que de nombreux cadres médicaux et paramédicaux sont en train d’émigrer sous d’autres cieux où ils sont accueillis à bras ouverts.
Alors qu’ils nous manquent terriblement. Hélas !