Dans chaque région, il y a un ou parfois même plusieurs produits du terroir qui, souvent, ne sont pas connus même au niveau national et ne sont pas exploités à leur juste valeur.
Ce filon pourrait — comme cela a été fait avec la Harissa à Nabeul — être exploité à l’intention des visiteurs et notamment des touristes étrangers et servir de levier pour les exportations à l’international. On pense notamment à l’huile d’olive, aux dattes, aux figues de Barbarie et de Djebba, etc. Ce sont de petites idées dont la mise en œuvre ne revient pas cher et qui pourraient rapporter gros.