
Si la ville de l’Ariana est connue pour ses roses, le gouvernorat de Kairouan —moins connu dans ce domaine— est le plus grand producteur en Tunisie de ces fleurs et en a fait même une source de revenus avec une industrie aussi bien artisanale que professionnelle.
C’est ainsi que de nombreux agriculteurs de la région pratiquent cette activité qui —cerise sur le gâteau— ne requiert pas beaucoup d’eau, ce qui correspond au climat des lieux qui sont semi-arides.
Ce qui pourrait inciter d’autres régions ayant les mêmes conditions climatiques à adopter cette agriculture. Il suffit de s’y mettre.