
Le dimanche, à la nuit tombante, l’avenue Bourguiba à Tunis est la plupart du temps déserte et la circulation automobile est fluide. Pourtant, le Théâtre municipal ne chôme pas et présente souvent des spectacles auxquels assistent des habitués, férus de bons divertissements.
Et quelquefois — et c’est là où je voulais en venir —, installés devant des jeunes (filles et garçons) jouent d’instruments ou chantent et égayent les lieux comme cela se fait un peu partout dans les grandes villes du monde.