
A chaque Aid El Kébir, nous assistons aux mêmes scènes. Ordures et restes de moutons qui jonchent les chaussées et les trottoirs et qui, avec la chaleur qui s’installe, peuvent être nocifs pour la santé. Mais surtout, toutes ces peaux de mouton (une véritable richesse) qui sont jetées partout et qui vont pourrir et être perdues— alors qu’elles pourraient être collectées et exploitées pour leur laine et même leur peau. Un créneau qui n’est pas malheureusement exploité et qui pourrait rapporter beaucoup d’argent et créer des emplois.
C’est l’occasion pour nos jeunes de se lancer et de montrer leurs capacités. Il suffit d’oser, le reste viendra de lui-même.