
Non seulement la circulation automobile dans la capitale est loin d’être une promenade de santé, mais le stationnement peut prendre la forme d’un exercice de haute voltige. Mais dans le cas où vous arriveriez à dénicher — par un heureux hasard — une petite place, c’est une autre bataille qui vous attend, bataille où vous laisserez certainement des plumes.
Alors que ces messieurs de la fourrière — avec leur don d’ubiquité — se frottent les mains en vue d’une éventuelle — et sûre — prise, l’horodateur, donc, vous attend de pied ferme. Vous avez beau mettre et remettre vos pièces de monnaie, il vous les rend. Et plus vous vous énervez, plus il prend du plaisir. Encore heureux qu’il ne les avale pas. Et pendant ce temps, le camion grue s’approche…
En attendant, bon courage !