
Décidément, plus rien ne rebute les apprentis brigands qui n’ont plus peur de prendre des risques inconcevables pour ramasser de l’argent, d’autant plus qu’en l’occurrence, ce créneau (le trafic de stupéfiants) rapporte gros.
Et c’est ainsi que deux employés d’un hôpital dérobaient des médicaments et utilisaient justement l’ambulance de leur établissement pour distribuer le produit de leurs larcins.
Encore plus insolite, une pharmacienne, avec la complicité de deux autres personnes, s’adonnait elle aussi à ce genre de trafic. Pourtant, on ne pense pas que les pharmaciens — d’une façon générale — soient dans le besoin. C’est vraiment le monde à l’envers.