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Samir Majoul: La Tunisie est un enfer fiscal

Auditionné à la commission provisoire des finances, le président de l’Union Tunisienne de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat, Samir Majoul a déclaré que la Tunisie n’était pas un paradis fiscal mais qu’au contraire, la Tunisie est un enfer fiscal pour le secteur privé et les PME.

Samir Majoul a appelé à l’application d’un impôt unique sur les sociétés et de soutenir un peu plus les sociétés exportatrices. Le président de l’UTICA a appelé l’assemblée à voter une Loi de finances tournée vers la croissance en adoptant notamment une fiscalité de croissance.

De son côté, le vice-président de la commission provisoire des finances Hichem Ajbouni a précisé que la Tunisie est véritablement un paradis fiscal, pas pour les entreprises, mais pour les contrebandiers et le secteur parallèle.

Hichem Ajbouni (Tayar) et Majdi Boudhina ont plaidé pour une politique plus engagée de decashing.

 

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Un commentaire

  1. karabaka youssef

    27 novembre 2019 à 10:16

    En principe, dans des conditions normaux de l’état c à d non exceptionnelles ou l’état cherche sauvagement des ressources , la politique fiscale doit prendre en considération les objectifs et axes suivant:

    * un régime fiscal équitable pour les entreprises, importe peut leurs démentions, et pour les individus notamment les salariés.
    * fiscalité non lourde pour tous les assujettis.
    *fiscalité encourageante pour les entreprises Tunisiennes , notamment, celles qui accomplirent dans la transparence leurs obligations fiscales: c’est un genre de bonus, qui ont des activités ajoutant une valeur ajouté à l’économie: encouragé la production Tunisienne, qui emploient un seuil de salariés: Pb de chômage et celles exportatrices: capacité de concurrence et apport de devise.

    Ainsi, l’état est tenu de gâter les Entreprises réglos et leurs fournir les conditions les plus favorables pour exerceront leurs activités: si une entreprise réglos, par exemple, exporte au marché magrébin, l’état doit l’accompagner pour qu’elle exportera au marché africain, asiatique..etc. et si une entreprise travail dans le marché local, grand Tunis par exemple, l’état doit l’encourager pour étendre son activité à tout le territoire puis au delà est devienne ainsi une entreprise exportatrice.

    la solitude des entreprises nationales, qui travaillent dans la transparence, et une question de  » sécurité nationale: autonomie économique du pays, apport au niveau des devises et embauche ..et image de marque du pays.

    Insistant; en fin, sur le fait que cette politique est valable pour les entreprises Tunisiennes Réglos. celles frauduleuses, les contrebandiers et le secteur parallèle doivent s’aliéner obligatoirement et fermement.

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