On les appelle vendeurs à la sauvette, mais ce terme (sauvette) ne peut pas s’appliquer parfaitement à eux puisqu’ils occupent le centre-ville d’une façon permanente et se comportent en vrais propriétaires. Et même si quelquefois la police entreprend une «descente», ils reviennent, aussitôt la police partie. C’est le jeu du chat et de la souris. Encore plus, une partie s’est installée sous les arcades et même dans le «préau» de l’immeuble, la «Nationale», un espace réservé uniquement aux habitants de cet immeuble.
Une solution doit être trouvée une fois pour toutes pour résoudre ce problème.
T.B.