Le mouvement Ennahdha a souligné que la détention de son vice-président et ancien chef du gouvernement, Ali Laârayedh, dans le cadre de l’affaire d’envoi des jeunes tunisiens vers les zones de conflit, n’est « qu’une tentative désespérée de camoufler le fiasco des élections législatives. »
Dans une déclaration publiée mardi, Ennahdha a réclamé la remise en liberté de Laârayedh, réaffirmant que ses dirigeants n’ont rien à voir avec cette affaire.
Immiscer les dirigeants du parti dans ce genre d’affaires s’inscrit dans le cadre des pressions et harcèlement exercés sur ceux qui s’opposent au « coup d’État », ajoute le parti.
Le juge d’instruction chargé de l’affaire d’envoi de jeunes tunisiens vers les zones de conflit a émis lundi, un mandat de dépôt, à l’encontre du vice-président du mouvement Ennahdha, Ali Laârayedh.
Daniel Majeri
21 décembre 2022 à 18:39
Il n’y a pas de fumée sans feu:
Qq a dit : pour tuer son chien ont dit qu’il l’a rage ensuite ont le noye.
Si notre pays ce trouve dans une situation catastrophique: politique, sociale et financière.
C’ grâce au détournement de l’argent du peuple tunisien et l’enrichissement personnel.
Si c’ personnes sont aussi honnête qu’ils le prétendent.
Qu’ils restituent l’argent au peuple tunisien.
Les élections législatives ne sont pas un échec ce sont ses profiteurs qui ont boycotté l’avenir de notre chère pays.
Que dieu remet notre pays comme ont l’a toujours connu.